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Budget France Music Week ; Polémique Rock en Seine ; Résultats Warner Music ; Stade de France ; Top singles FR

L'actualité du music business

MUSIQUE, BUSINESS, ÉCONOMIE.

LA FRANCE MUSIC WEEK A COÛTÉ 7 MILLIONS D’EUROS, LE BUDGET FINANCÉE EN GRANDE PARTIE PAR LES SPONSORS

La France Music Week s’est clôturée il y a tout juste deux mois, avec le concert organisé à l’occasion de la Fête de la musique. Emmanuel Macron avait confié, au Gouvernement et au Centre national de la musique, la mission de faire rayonner la France et sa musique à l’échelle mondiale avec cet évènement d’exception combinant rencontres professionnelles et concerts ouverts au public. Une ambition qui a nécessité des ressources financières conséquentes et plus élevées que prévu. MUSICBIZ révèle que la France Music Week 2025 a coûté 7 millions d’euros, avec un budget en partie financé par les marques et entreprises sponsors. Le tout, pour un impact et des retombées qui restent à démontrer, malgré une pertinence évidente dans le concept.

Le budget exact de la France Music Week a été de 6.1 millions d’euros hors taxes (soit 7 millions € TTC). Un montant qui inclut l’ensemble des évènements organisés pour le public et ceux dédiés aux professionnels, dont le concert de clôture du 21 juin, les onze showcases à la Maison de la radio et de la musique, les rencontres professionnelles, ou encore le Sommet organisé avec plusieurs dizaines de décideurs de l’industrie de la musique à l’Opéra Garnier.

Les concerts officiels et labellisés ont mobilisé 60% du budget global, tandis que les 40% restants ont servi à organiser les évènements dédiés aux professionnels. Logistique, sécurité, production exécutive des concerts, communication et accueil sont les principaux postes de dépenses.

“Le budget global de la France Music Week (FMW) a été construit dans la plus grande sobriété, pour une semaine entière d’événements de portée internationale: 5 concerts spéciaux, 3 journées d’échanges et de débats à la maison de la Radio, un sommet, 11 showcases d’artistes sur le point de devenir les nouveaux succès à l’export, et un grand concert populaire ouvert gratuitement à 35 000 personnes en plein cœur de Paris“ nuance Bérénice Ravache, directrice générale déléguée du Centre national de la musique qui s’était vu confier la coordination de l’évènement. Le budget n’a pas été prélevé sur les ressources dédiées aux missions (aides, observation, information…) du Centre national de la musique.

Un coût deux fois plus élevé que prévu, financé grâce aux sponsors

Le coût de la France Music Week a finalement été deux fois plus élevé que prévu, d’après des informations confirmées par plusieurs sources à MUSICBIZ. Au départ, il devait être de 3 millions d’euros. Les ambitions ont ensuite été rehaussées, notamment en raison de la volonté du Président de la République d’offrir un “grand concert“ au public avec un line-up composé d’artistes de divers horizons. Le montant relatif au concert de clôture, incluant donc les cachets des têtes d’affiche ainsi que les frais de logistique et de sécurité, se situe aux alentours de 3 millions d’euros.

Cependant, le concert a finalement accueilli 25 000 spectateurs, 10 000 personnes de moins qu’attendu. Diffusé sur France 2 en prime-time, il a été regardé par 1.77 millions de téléspectateurs (Médiamétrie). Une exposition d’envergure pour la musique et les artistes à la télévision, mais qui n’est pas exceptionnelle ni nouvelle puisqu’un concert est chaque année diffusé sur France 2 lors de la Fête de la musique (1.75 tvsp en 2024).

L’évènement a en partie été financé par les marques et entreprises sponsors, à hauteur de 40% soit 2.8 millions d’euros. Le Crédit Mutuel, Coca-Cola, EDF, Renault, la Sacem et France Télévisions ont été les sponsors majeurs. Les deals avec les marques et entreprises ont été bouclés en quelques semaines. Les montants sont confidentiels, mais plusieurs sources ont confirmé à MUSICBIZ qu’au moins deux entreprises ont payé a minima 500 000 euros pour être associées à la France Music Week.

Un évènement nécessaire, mais dont le budget et l’impact interrogent

La France Music Week aura eu le mérite de combler un vide à Paris, qui manquait d’un grand rendez-vous prestigieux en présence des leaders de l’industrie. Une nécessité au regard du potentiel de la France sur la scène mondiale du music business, et des nombreux enjeux d’ordre économique et réglementaire auxquels sont confrontés les professionnels.

L’évènement s’est avéré être le symbole et le point d’orgue de l’engagement d’Emmanuel Macron en faveur du développement du secteur et des artistes, avec entre autres la création du Centre national de la musique, les aides exceptionnelles allouées au secteur durant la crise Covid puis pour la relance du secteur après la crise sanitaire et économique.

Néanmoins, au regard des 7 millions d’euros dépensés, dont 60% en provenance des finances publiques, quatre questions se posent. Quel a été l’impact réel de la France Music Week auprès des professionnels et du public ? Quels en sont les résultats concrets en termes de rayonnement de la France à l’échelle internationale, et d’influence dans les discussions en matière d’économie et de réglementation ? Un évènement tout aussi prestigieux et pertinent, mais plus attractif et plus rassembleur et inclusif n’aurait-il pas pu être organisé pour moins de 7 millions d’euros ? Une 2ème édition de l’évènement sera-t-elle organisée en 2026 ?

Jason Moreau, Executive Editor, MUSICBIZ

ROCK EN SEINE: DOECHII ET A$AP ROCKY ANNULÉS, DES CENTAINES D’ACHETEURS DE BILLETS EXIGENT UN REMBOURSEMENT

La saison des grands festivals français se clôture avec Rock en Seine, du 20 au 24 août aux portes de Paris. Quelques heures avant son ouverture le festival au budget de 17 millions d’euros connaît une nouvelle polémique d’envergure, 16 ans après l’énorme scandale suscité par la séparation du groupe Oasis juste avant de monter sur scène. Plusieurs centaines de spectateurs exigent un remboursement de leurs billets. En cause, l’annulation de deux artistes headliners, Doechii et A$AP Rocky. Les organisateurs refusent tout remboursement pour l’heure. Une situation qui soulève des questions quant à la réglementation et aux pratiques commerciales en la matière.

Les festivals doivent-ils proposer un remboursement des billets quand un artiste headliner est finalement annulé ? Une réglementation spécifique pour les billets de festivals est-elle nécessaire compte tenu de leurs spécificités ? Ce sont les deux questions posées par la polémique face à laquelle se retrouvent les organisateurs de Rock en Seine.

48 heures avant son ouverture, le festival a annoncé que Doechii ne serait pas présente. L’artiste américaine primée aux GRAMMYs a également annulé ses performances aux festivals All Points East (London) et Forwards Bristol (UK). Ce qui permet aux organisateurs de Rock en Seine de faire valoir que l’annulation ne relève pas de leur responsabilité.

15 euros en cashless ou un autre billet proposés

Pour autant, il s’agit de la seconde annulation d’un artiste headliner, après A$AP Rocky début juillet et ce sur la même journée du jeudi 21 août. A$AP Rocky a cependant été remplacé par Kid Cudi. Dès la première annulation, plusieurs dizaines de spectateurs s’étaient indignés que le festival ne propose pas le remboursement des billets.

À présent qu’une seconde tête d’affiche manque à la programmation initiale, ils sont plusieurs centaines à exiger pour que leurs billets (achetés entre 84 et 149 euros) soient remboursés. Doechii et A$AP Rocky étaient les deux principaux artistes headliners du 21 août, en termes de popularité (la première étant une des révélations de l’année sur la scène internationale, le second étant le compagnon de Rihanna) et de nombre de streams.
En contrepartie, le festival a proposé une place sur un autre jour, ou 15 euros en cashless. Ce qui a suscité de vives critiques des acheteurs de billets.

De nombreuses critiques par les acheteurs de billets

Les critiques des spectateurs sont particulièrement nombreuses sur Instagram (800 commentaires), TikTok et X. “Franchement vos compensations sont pas sérieuses. Une place offerte un autre jour, ok sympa si on vit à Paris, mais pour ceux qui viennent de loin c’est inutile. Et 15 euros de cashless pour une place payée 79, c’est ridicule. Quand on annule une grosse tête d’affiche sans remplacement, la moindre des choses, c’est de proposer un vrai remboursement“ écrit Alexandre. “J’ai acheté ma place uniquement pour Doechi et Asap…“ se désole Jessica dans un commentaire affichant 400 likes, sur le post Instagram annonçant l’annulation de Doechii.

Outre les simples demandes de remboursement, certains justifient leurs revendications par les dépenses annexes. “Après A$AP Rocky, quel scandale ! Déplacement du nord avec mes 2 ados fans de Doechii dont ils me parlent depuis des mois. Nous avons pris les billets pour deux artistes majeurs qui ne seront pas là; Nous n’aurions pas engagés de tels frais (places, cashless, hôtel, carburant, péage) pour aucun des autres artistes. Vous réservez PSG/OM, on vous dit 2 jours avant ce sera finalement Lille/Clermont, mais te plains pas t’aurais une frite gratuite. Inadmissible de ne pas proposer un remboursement total!“ s’exclame Jérémy. “Can we get our money back then“ (On peut être remboursés alors ?) demande Julia (345 likes). “Je suis également très surprise de la tournure des évènements, et surtout des propositions de dédommagement. Ma fille et son amie venaient de Lyon pour A$AP Rocky et Doechii. Billets journée + train + hébergement… Et il faut attendre une 2ème annulation de tête d’affiche pour avoir un email et des dédommagements peu pertinents… Décevant“ fustige Priscillia. “C’est une annonce indépendante de notre volonté“ rétorque l’équipe du festival.

Certains acheteurs de billets ont fait part de leur intention de saisir la DGCCRF (direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) et des associations de consommateurs, estimant que les organisateurs sont en infraction avec la réglementation pour ne pas proposer de remboursement.

Les billets achetés pour l’expérience intégrale, non pour un seul concert

La question centrale qui conditionne une “obligation“ de principe pour les organisateurs de Rock en Seine de procéder au remboursement des billets consiste à savoir si l’annulation de deux artistes headliners caractérise une “modification“ de l’évènement. À ce niveau, les organisateurs se heurtent à une contradiction non des moindres. Le festival utilise les solutions de Weezevent pour la billetterie. Et la documentation de la plateforme est claire en la matière: “L’organisateur est tenu de rembourser ses acheteurs en cas de modification de l’événement. Il appartient à l’organisateur d’informer les acheteurs de l’annulation et des modalités de remboursement retenues. On parle de modification d’un spectacle lors d’un changement d’artiste, d’un report de l’événement, de son annulation définitive ou encore d’un changement de lieu“.

Les artistes headliners sont évidemment le coeur de la programmation des festivals. Ils sont généralement ceux qui génèrent le plus de vente de billets, de par leur popularité, leurs succès plus ou moins récents. Néanmoins, un billet de festival est vendu pour l’expérience dans son intégralité, c’est-à-dire l’ensemble des concerts et services proposés, et non pour un concert spécifique. Raison pour laquelle les organisateurs de festivals ne proposent généralement pas de remboursement quand la performance d’un artiste headliner est finalement annulée. Les acheteurs de billets pour la journée du 21 août à Rock en Seine ont donc certes payés pour Doechii et A$AP Rocky, mais également pour la quinzaine d’artistes programmés.

De surcroît, tout achat des billets pour des concerts et festivals est considéré comme étant définitif, le droit de rétraction permis par le Code de la consommation ne s’appliquant pas. Ce qui explique la possibilité de revente, pour un montant ne pouvant excéder leur valeur initiale.

Par le passé, certains organisateurs de festivals ont tout de même décidé de proposer un remboursement, dès lors qu’un artiste headliner était annulé à la dernière minute. Les organisateurs de Rock en Seine (AEG, Combat media) ont fait le choix inverse. Une décision qui, à défaut d’être sanctionnée par les autorités, pourrait l’être par les spectateurs eux-mêmes en 2026. À quelques heures de son ouverture, aucun des 5 jours du festival n’est sold out.

Jason Moreau, Executive Editor, MUSICBIZ

WARNER MUSIC: 3.1 MILLIARDS $ DE CHIFFRE D’AFFAIRES AU PREMIER SEMESTRE 2025, DONT 2.1 MILLIARDS EN PROVENANCE DU STREAMING

Les revenus de Warner Music relatifs aux six premiers de l’année affichent une légère progression (+4%), portés par les performances du 2ème trimestre (+9%) et notamment le streaming ainsi que les services aux artistes et labels. La maison-mère des labels Atlantic, Parlophone ou encore Warner records a cependant enregistré des résultats contrastés sur le plan de la rentabilité, avec des pertes au 2ème trimestre. Les artistes Rosé, Bruno Mars, Teddy Swims, Twice et Mac Miller sont ceux ayant rapporté le plus de recettes.

Le chiffre d’affaires de Warner Music au premier semestre 2025 est de 3.17 milliards de dollars soit 2.70 millions d’euros, en hausse de 130 millions $ par rapport à l’année précédente (+4%). Les revenus en provenance du streaming ont atteint 2.1 milliards de dollars (1.8 milliard d’euros), et affichent une progression de 39 millions $ (+2%). Les ventes sur le format physique sont stables avec 221 millions de dollars de recettes (188 M€).

Warner Music a publié un chiffre d’affaires d’1.68 milliard de dollars (1.43 milliard d’euros) pour le 2ème trimestre, en croissance de 9% soit 135 millions de dollars. “Au cours du dernier trimestre, nous avons eu de grands succès dans les charts, fait émergé de nouvelles stars, et enregistré des hausses de revenus et de parts de marché. Tout cela montre que notre stratégie fonctionne“ a déclaré Robert Kyncl, CEO de Warner Music Group, lors de la publication des résultats du 2ème trimestre 2025.

Le CA sur la musique enregistrée en baisse de 80 M$

Sur le segment relatif à la production et aux services aux artistes et labels (musique enregistrée), l’entreprise a généré un total de 2.52 milliards de dollars (2.14 milliards d’euros) sur les six premiers de l’année 2025, 80 millions $ de moins qu’en 2024. Le chiffre d’affaires réalisé au deuxième trimestre (1.35 Md$, 1.15 Md€) a tout de même progressé de 103 millions $ soit 8%, après avoir été en léger recul en début d’année (-1%). Warner Music a encaissé 1.72 milliards de dollars (1.46 Md€) en provenance du streaming au premier semestre sur le segment de la musique enregistrée, 29 millions de plus que l’an dernier. Le streaming payant a rapporté 1.29 milliard de dollars soit 1.10 milliard d’euros, 39 millions $ de plus que l’année précédente (+3%).

Dans le domaine de l’édition, les revenus de Warner Music correspondent à 646 millions de dollars soit 551 millions d’euros pour les six premiers mois de l’année 2025, en augmentation de 35 millions de dollars sur un an (+5%). Le streaming a rapporté 387 millions de dollars (330 M€), 10 millions $ de moins que l’an dernier. Le chiffre d’affaires de Warner Music au 2ème trimestre affiche une progression de 30 millions par rapport à 2024, sous l’effet de la croissance du streaming (10 M$) et de la musique à l’image (synchronisation) qui a généré 54 M$.

20 milliards de dollars de bénéfice

Sur le terrain de la rentabilité, le résultat opérationnel de Warner Music au cours des six premiers mois de l’année est de 337 millions de dollars (287 M€), contre 326 M$ en 2024. Le bénéfice de l’entreprise cotée au Nasdaq est de 20 millions de dollars, avec au 2ème trimestre un déficit de 16 millions, et un résultat net de 36 millions de dollars en début d’année.

“Les bons résultats enregistrés durant ce trimestre reflètent notre engagement à investir sur de la musique de qualité, et à créer de la valeur de long terme pour nos artistes, auteurs, et nos actionnaires“ commente Armin Zerza, Chief Financial Officier de Warner Music. “En même temps que nous continuons de faire évoluer notre entreprise, nous nous focalisons sur les artistes, auteurs, et sur les marchés à haut potentiel. Et ce tout en faisant croître notre catalogue iconique, et en développant des équipes et outils pour accompagner nos talents“ précise Robert Kyncl, CEO de WMG.

Jason Moreau, Executive Editor, MUSICBIZ

Note de la rédaction : l’exercice fiscal de Warner Music est avancé de trois mois sur l’année calendaire. L’entreprise ne publie donc pas ses résultats au format semestre, contrairement à Universal Music et Spotify notamment. MUSICBIZ a procédé à l’analyse des résultats de Warner Music sur la base des six premiers mois 2025, bien qu’ils ne soient pas communiqués comme tels, pour les aligner sur ceux d’Universal Music et ainsi offrir une meilleure lisibilité des performances de l’entreprise.

STADE DE FRANCE : 150 000 BILLETS VENDUS POUR LES CONCERTS D’AC/DC, DERNIERS DE L’ANNÉE 2025 ET PREMIERS AVEC GL EVENTS COMME GESTIONNAIRE

Le Stade de France est à présent dans une nouvelle ère avec la concession confiée par l’État à GL Events jusqu’en 2045. Les premiers concerts avec l’entreprise comme gestionnaire du lieu d’une capacité de 80 000 places ont eu lieu les 9 et 13 août avec les performances du groupe AC/DC. Les deux concerts (produits par Gérard Drouot productions) étaient également les derniers de la saison estivale. 150 000 billets ont été vendus pour les deux concerts, soit 75 000 places pour chacun, d’après une information communiquée par la société de production à MUSICBIZ.

En 2025, dix artistes et groupes se sont produits dans l’enceinte du plus grand stade accueillant des concerts, pour un total de 17 concerts. Outre Beyoncé avec trois dates, Imagine Dragons avec deux performances, ou encore les groupes de K-pop Blackpink et Stray Kids, trois artistes français sont montés sur la scène de Stade de France: Ninho (2 dates), Jul (record de fréquentation) et DJ Snake. Les prochains concerts programmés n’ont pas encore annoncés.

TOP SINGLES FRANCE: ‘SOLEIL BLEU’ INTERPRÉTÉ PAR LUIZA, NUMÉRO 1 POUR LA 5ÈME SEMAINE CONSÉCUTIVE

Le titre ‘Soleil bleu’, du duo Bleu Soleil en feat avec la chanteuse Luiza, est numéro 1 du Top singles France (8-14 août) pour la 5ème semaine consécutive avec 5.5 millions de streams d’après les données du Snep et Official Charts Company.

Le record de longévité à la première place du classement en 2025 est détenu à équité par Hamza avec ‘Kyky2bondy’, numéro 1 pendant 6 semaines consécutives entre mi-mai et fin juin, et par Gims avec ‘Ciel’, numéro 1 pendant 6 semaines également entre fin janvier et début mars.

Produit par le label Chapter Two (Wagram stories), ‘Soleil bleu’ est désormais certifié platine avec plus de 30 millions d’écoutes sur les plateformes. Le titre totalise 27 millions de streams sur Spotify, où il est numéro 2 pour la 2ème semaine consécutive, avec un nombre d’écoutes désormais supérieur à 3 millions par semaine. Il a également atteint la première place sur Deezer, et la 2ème sur Apple Music. Luiza, 3.8 millions d’auditeurs mensuels sur Spotify, et le groupe Bleu Soleil (3.6 millions) ont gagné 2 millions d’auditeurs en six semaines.

Sorti en avril, le morceau aux sonorités reggae a créé la surprise en s’imposant progressivement comme un des hits de l’été 2025.

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